Fruits rouge : l’Espagne a besoin des ouvriers migrants
L’organisation agraire UPA a demandé au gouvernement central de ré-approuver les quotas des travailleurs migrants pour la saison de la récolte des fraises et autres baies, tels que les framboises et les myrtilles, à Huelva.
La demande a été délivrée après que le secrétaire général de l’UPA, Lorenzo Ramos, le secrétaire général de l’UPA-Andalousie, Miguel Cobos, et le secrétaire général de l’UPA-Huelva, Manuel Piedra, ont rencontré un représentant des entrepreneurs agricoles dans cette province, qui ont soulevées leurs préoccupations au sujet de l’absence de travailleurs qualifiés au cours de la période de récolte des fruits rouges, tel que rapporté par l’organisation dans un communiqué.
UPA considère qu’il est nécessaire de « ré-approuver les quotas de travailleurs migrants pour cette campagne, Compte tenu de la concentration de la production pendant des périodes spécifiques de l’année, ce qui provoque des problèmes avec la récolte. »
L’organisation a noté que la commission provinciale des flux migratoires, qui compte avec la participation de diverses autorités, des employeurs, des syndicats et organisations agricoles, doivent approuver ces quotas, « en tenant compte des besoins des travailleurs locaux et les besoins des entrepreneurs agricoles, en plus de la protection des travailleurs migrants à partir d’un point de vue social ».
L’UPA a souligné que le travail agricole nécessaire pour ces cultures est effectué par la population locale, mais « cette main-d’œuvre se déplace vers d’autres secteurs, tels que le tourisme ou la construction, à des moments plus sensibles, tels que la période de récolte. »